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8 août 2003

PSYCHANALYSE TENDRESSE - TRANSCENDANCE

Chapitre 1 THANATOS : 2

Chapitre 2 THEORIE. 2

a Des catastrophes. 2

i Psychose maniaco-dépressive. 2

b Cloacale. 2

Chapitre 3 THYROÏDE. 2

a L’hyperthyroïdie. 2

b L’hypothyroïdie. 2

Chapitre 4 TIC.. 2

a Une cause psychique. 2

b Un tic courant par Jean BERGES. 3

i Gestes et personnalité, Paris, Hachette, 1967. 3

a p. 93-95. 3

Chapitre 5 TIRER.. 3

a Expressions. 3

i Dite « tirer un coup ». 3

a Extraits. 4

Un Cabinet Satyrique (1618) 4

Deux COQUILLART (1491) 4

Trois J. VAUTRIN, La canicule (1982) 4

Chapitre 6 TOPIQUE : 4

Chapitre 7 TOSTE. 4

a Expressions. 4

i Dite « porter un toste ». 4

Chapitre 8 TOTEM... 5

a Pouvoir du totem et du talisman. 5

b Selon les cultures. 5

i Primitives. 5

ii Tribus AUSTRALIENNES. 5

c Ce en quoi cela concerne la psychanalyse. 5

i La loi de l’exogamie. 5

Chapitre 9 TOXICOMANIE : 6

Chapitre 10 TRACE MNESIQUE : 6

Chapitre 11 TRANQUILLISANTS. 6

a Attention à l’accoutumance. 6

Terme grec (la mort) parfois utilisé pour désigner les pulsions de mort, par symétrie avec le terme d’Eros ; son emploi souligne le caractère radical du dualisme pulsionnel en lui donnant une signification quasi mythique.

aDes catastrophes

Théorie du mathématicien R. THOM formalisant les changements brusques pouvant affecter une situation jusqu’alors stable mais soumise à des perturbations infinitésimales. Selon son auteur, cette théorie devrait permettre de prévoir ces changements et pourrait s’appliquer à la psychopathologie. Certains chercheurs ont ainsi tenté d’établir le modèle de la psychose maniaco-dépressive.

bCloacale

Théorie sexuelle de l’enfant qui méconnaît la distinction du vagin et de l’anus : la femme ne posséderait qu’une cavité et qu’un orifice, confondu avec l’anus, par lequel naîtraient les enfants et se pratiqueraient le coït.

Glande située en avant de la trachée et qui sécrète une hormonde appelée « thyroxine ». La thyroïde contrôle l’équilibre émotionnel d’un Sujet. Son action se fait également sentir sur son activité intellectuelle.

Le mauvais fonctionnement de cette glande peut provoquer :

L’hyperthyroïdie comme l’hypothyroïdie peuvent être le fait de Sujets normaux, s’il s’agit non d’un mauvais fontionnement de la thyroïde, mais d’un simple ralentissement de l’activité de cette glande. La coloration caractérielle de l’hyperthyroïdien normal, si l’on peut dire, est l’activité un peu brouillone : celle de l’hypothyroïdien moyen, la passivité et la lenteur.

aL’hyperthyroïdie

L’hyperthyroïdie est la toxine sécrétée en excès et engendre une surexcitation du système nerveux. Le Sujet se montre irritable, anxieux, agité ; ses sentiements se modifient, ses idées et ses activités deviennent inconstantes.

bL’hypothyroïdie

L’hypothyroïdie peut en cas de déficience de la sécrétion thyroïdienne laisser apparaître des troubles psychiques graves : l’attention s’amoindrit, l’activité intellectuelle baisser, le Sujet a du mal à fixer son attention, à raisonner. En outre, il est atteint de somnolence et d’angoisse.

Les tics se traduisent par des contractions brusques et involontaires de certains muscles de la face, de certains membres, ou par des gestes qui surviennent inopinément, sans relation aucune avec la situation présente. Les tics peuvent empirer ou, au contraire, s’atténuer selon les circonstances. Ils nous divertissent, nous agacent ou provoquent une profonde impression de gêne, car ils apparaissent comme des parasites du comportement.

Selon Jean BERGES, l’attitude est fonction de postures conventionnelles qui traduisent non seulement la bonne éducation, mais également l’équilibre de la maîtrise de soi. Aussi éprouve‑t‑on une surprise mêlée de malaise devant un interlocuteur dont les traits du visage se crispent brusquement –sans que rien ne le laisse prévoir-, dont les tics détériorent la physionomie durant une conversation.

aUne cause psychique

En réalité, ces crispations musculaires et répétitives ne devraient pas faire surire, car elles sont l’expression, l’extériorisation, d’une certaine tension nerveuse de l’individu. Pour BERGES, le malaise, certainement très ancien, ne trouve d’exutoire que dans ces répétitions de contractions brusques et irrépressibles : un mouvement soudain des lèvres, des sourcils qui remontent curieusement de façon régulière, une torsion soudaine de la bouche.

Les tics ne se bornent pas d’ailleurs à ces crispations musculaires du visage, ils peuvent également s’étendre à des gestes des mains : frottement régulier de la main sur les cheveux, pincement du menton entre le pouce et l’index ou pincement du lobe de l’oreille.

Ils traduisent une anxiété qui ne s’est pas entièrement résorbée, et qui réapparaît inopinément malgré l’effort du Sujet pour la dissimuler. Ces gestes seraient une façon de canaliser l’état anxieux, de s’en dégager ou de l’amoindrir.

L’abandon d’un tic est extrêmement malaisé pour un individu ; « cet abandon, écrit le docteur Jean BERGES, lui est certainement infiniment plus difficile qu’il peut être délicat pour nous de la comprendre, de nous rapprocher un peu de la connaissance, de la signification, si détournée, si masquée et si défigurée de ce geste… » Le tic, en effet, a une signification ou une cause psychique et n’est que très rarement fonction de lésions organiques particulières.

bUn tic courant par Jean BERGES

« [L’onychophagie peut] revêtir de nombreux aspects : depuis le grignotement à peine perceptible jusqu’à l’onychophagie grave, avec quasi‑disparition de toute la surface des ongles, qui est remplacée par un bourrelet de chair traumatisée. Tous les ongles sont l’Objet de cette agression, ou seulement quelques‑uns, ou un seul, et habituellement son symétrique subit le même sort. Enfin, il existe ce que l’on pourrait appeler des formes dégradées et bénignes : il ne s’agit plus de l’ongle, mais des diverses excoriations de la peau de la face dorsale des dernières phalanges, surtout dans la région péri‑unguéale, mais aussi aux articulations réunissant les phalanges. A l’observation de celui qui ainsi se mange lui‑même, transparaît rapidement l’anxiété profonde, ravivée par une contrariété, une occupation très absorbante, ou certaines circonstances au cours desquelles il se sent particulièrement tendu : lecture de mauvaises nouvelles, film angoissant, conversation frustrante ou agressive, situation conflictuelle, notamment. Oin ne saurait trop dire combien ce geste signe l’anxiété et constitue une manifestation du désir –inconnu du Sujet- de se punir soi‑même (c’est cela, symboliquement, qui est qualifié d’automutilation). Punition liée elle‑même aux conflits inconscients qui n’ont pas été liquidés avec l’image de ce qui représente la force, l’autorité, l’inflexible direction, en bref ce qui s’oppose à ce qu’il soit libre de faire selon son plaisir, et qu’il désire voir disparaître. C’est de ce souhait qu’il se punit en se rongeant lui‑même, comme le tout jeune enfant se frappe quand il vient de faire ce qui est défendu.

Aussi le geste de ronger ses ongles permet‑il de prévoir des difficultés de comportement avec ce qui représente l’autorité excessive : docilité et servilité, ou bien agressivité se traduisant par des discussions dont le tour abrupt qu’elles prennent avec celui qui veut imposer son point de vue, étonne parfois. En revanche, le sens de la hiérarchie, la fidélité à ceux qui savent se faire estimer et aimer constituent l’autre aspect de la personnalité de ces adultes, qui, par ailleurs, font preuve de très belles qualités de sérieux dans leur profession et de dévouement dans le sens le plus élevé du terme. »

aExpressions

On entre là dans les rudesses des métaphores balistiques. Il faut savoir qu’avant la propagation des armes à feu on « rompait des lances », expression de joute et de tournois qui fut courante pendant tout le 15ème siècle pour les ébats du lit. MONTAIGNE disait encore en 1580 :

« Le marié ayant envie de ‘’rompre un bois’’ en faveur de sa nouvelle épouse… »

La notion de « coup », sexuellement parlant, remonte au moins au 15ème siècle. Au 17ème siècle, « tirer un coup » est déjà d’usage fréquent ; en voici un exemple agréable dans cette petite histoire du Cabinet Satyrique de 1618. La métaphore n’a dès lors jamais failli jusqu’à nos jours. La forme « tirer son coup » donne à l’expression un tour plus personnalisé qui ne va pas sans une légère teinte d’égoïsme.

« Un bon mari, des meilleurs que l’on face,

Venu de loin plus tôt qu’il ne devait

Sa femme voit dormant de bonne grâce

Que ces reins frais sur la plume couvait.

Il y prend goût, d’un masque se pourvoit ;

Il niche et joue, elle le trouve doux.

Quand le bon Jean eut tiré ces grands coups

Se démasqua ; lors le voyant la belle

Et qu’est ceci mon mari ? (ce dit‑elle),

Je pensais bien que fût autre que vous. »

Témoin ce passage des œuvres de COQUILLART, avec la vieille expression « coup à demi pécune », qui signifiait : « faveur d’amour à moitié donnée, à moitié vendue ».

« Elle est bien si estourdie

Que de cuider, ou de penser

La chair d’un homme assouvie,

D’une femme et de s’en passer,

Que de baiser et d’embrasser,

Voire à Dieu, passer sa fortune,

Assez, assez, trop d’avancer

Pour ung coup à demi pécune. »

TroisJ. VAUTRIN, La canicule (1982)

« En régie, un technicien envoie un bobineau préenregistré. Il consulte sa SEIKO à quartz. Il dit à son collègue :

-         Plus qu’une heure à tirer, mec.

Il bâille. L’air sec qui fait ça. Il dit aussi :

-         Faut que je pense à acheter de la bière avant de rentrer à la maison. Je bois toujours de la bière quand j’ai tiré mon coup. »

Théorie ou point de vue qui suppose une différenciation de l’appareil psychique en un certain nombre de systèmes doués de caractères ou de fonctions différences et disposés dans un certain ordre les uns par rapport aux autres, ce qui permet de les considérer métaphoriquement comme des lieux psychiques dont on peut donner une représentation figurée spatialement.

On parle couramment de deux topiques freudiennes, la première dans laquelle la distinction majeure se fait entre Inconscient, Préconscient et Conscient, la seconde différenciant trois instances : le Ça, le Moi, le Surmoi.

aExpressions

Boire à la santé du voisin. Selon RABELAIS, c’est le GEANT GABARA, ancêtre de GARGANTUA, qui fut le premier inventeur de la coutume. En réalité les GRECS présentaient déjà la coupe à leurs amis en disant : « Voici pour toi ! » - probablement par imitation et parodie des offrandes sacrées à leurs dieux. Les ROMAINS épelaient galamment le nom de leur maîtresse en avalant d’une trait à chaque lettre un verre rempli à ras bord. Ces professionnels de l’orgie récitaient aussi une curieuse formule :

« Bene vis, bene nos, bene te, bene me, bene nostrum etiam STEPHANIUM »

que cite PLAUTE

Ce qui est à l’origine du « A la bonne vôtre ».

aPouvoir du totem et du talisman

Totem et talisman sont constitués par la discrimination pratique du symbole abstrait, privilégié et séparé de contexte temporel. C’est en ce point précis que la fonction symbolique du psychisme humain vient cliver les pouvoirs du malheur, et s’approprier la puissance par un acte déjà diaïrétique tout en exorcisant et réduisant à l’impuissance la nécessité naturelle symbolisée par l’hostilité et l’animalité. Ce symbolisme du talisman ou du totem, essentiellement vicariant, c’est‑à‑dire procédant par choix d’une partie valant pour le tout, est moyen d’action sur la nécessité temporelle encore plus adéquat que les procédés antiphrastiques. Il y a dans l’utilisation du talisman ou du totem une masculinisation de la puissance, un captage des forces naturelles qui peut se détecter à travers un trajet qui va du stade de l’ostentation et de l’agressivité virile jusqu’à l’utilisation du mot magique et du verbe rationnel.

bSelon les cultures

Le mot magique, puis le langage profane sont l’aboutissement d’un long processus de magie vicariante dont la pratique rituelle du trophée de têtes ou du talisman de cornes est la manifestations primitive. La conquête et l’arrachage du trophée est la première manifestation culturelle de l’abstraction. On pourrait situer comme moyen terme sur ce trajet qui va de l’Objet naturel et talismanique au signe idéal, la pratique du geste talisman dont la corne ou la main, précisément, nous fournissent de nombreux exemples : mano cornuta des ITALIENS ou mano fica qui conjurent le mauvais sort ou qui servent à jet un sort ; amulette ISLAMIQUE en forme de main ouverte, ou encore geste de la bénédiction et de l’exorcisme JUDEO‑CHRETIEN, innombrables postures corporelles ou simplement manuelles de l’ascèse TANTRIQUE du Yoga, comme du théâtre CHINOIS ou JAPONAIS. C’est par le processus de la vicariante que le symbole se transforme en signe d’abord, en mot ensuite, et perd la sémanticité au profit de la sémiologie.

Les tribus AUSTRALIENNES se divisent en groupes plus petits, clans, dont chacun porte le nom de son totem. D’une façon générale, le totem est un animal comestible, inoffensif ou dangereux et redouté, plus rarement une plante ou une force naturelle (pluie, eau) qui se trouve dans un rapport particulier avec l’ensemble du groupe. Le totem est, en premier lieu, l’ancêtre du groupe ; en deuxième lieu, son esprit protecteur et son bienfaiteur qui envoie des oracles et, alors même qu’il est dangereux pour d’autres, connaît et épargne ses enfants. Ceux qui ont le même totem sont dons soumis à l’obligation sacrée, dont la violation entraîne un châtiment automatique, de ne pas tuer (ou détruire) leur totem, de s’abstenir de manger de sa chair ou d’en jouir autrement. Le caractère totémique est inhérent, non à tel animal particulier ou à tel Objet particulier (plante ou force naturelle), mais à tous les Individus appartenant à l’espèce du totem. De temps à autre sont célébrées des fêtes au cours desquelles les associés du groupe totémique reproduisent ou imitent, par des danses cérémoniales, les mouvements et particularités de leur totem.

Le totem se transmet héréditairement, aussi bien en ligne paternelle que maternelle. Il est probable que le mode de transmission maternel a été partout le plus primitif et n’a été remplacé que plus tard par la transmission paternelle. La subordination au totem forme la base de toutes les obligations sociales de l’AUSTRALIEN ; elle dépasse, d’un côté, la subordination à la tribu et refoule, d’un autre côté, à l’arrière‑plan la parenté du sang.

Le totem n’est attaché ni au sol ni à telle ou telle localité ; les membres d’un même totem peuvent vivre séparés les uns des autres et en paix avec des Individus ayant des totems différents.

cCe en quoi cela concerne la psychanalyse

Presque partout où ce système est en vigueur, il comporte la loi d’après laquelle les membres d’un seul et même totem ne doivent pas avoir entre eux de relations sexuelles, par conséquent ne doivent pas se marier entre eux. Cette interdiction est inséparable du système totémique et est rigoureusement observée. Sans aucun rapport logique avec ce que nous savons de la nature et des particularités du totem, on ne comprend pas comment elle a pu se glisser dans le totémisme. Nous essayerons donc de comprendre la signification de cette prohibition. La violation de cette prohibition n’est pas suivie d’un châtiment pour ainsi dire automatique du coupable comme le sont les violations d’autres prohibitions totémiques, mais est vengée par la tribu tout entière, comme s’il s’agissait de détourner un danger qui menace la collectivité ou une faute qui pèse sur elle. Le totem étant héréditaire et ne subissant aucune modification du fait du mariage, il est facile de se rendre compte des conséquences de cette prohibition dans les cas d’hérédité maternelle. Si l’homme, par exemple, fait partie d’un clan ayant pour totem le kangourou et épouse une femme ayant pour totem l’émeu, les enfants, garçons et filles, seront tous émeu. Un fils issu de ce mariage sera donc dans l’impossibilité d’avoir des rapports incestueux avec sa mère et sa sœur émeu comme lui.

Des observations peuvent être faites en ce qui concerne les toxicomanies ou polytoxicomanies. Certains individus normaux, du fait de concours de circonstances extérieures, peuvent tomber dans la toxicomanie et présenter à la longue une certaine déchéance psychique. Certains types de déséquilibres névrotiques (névrose d’angoisse) constituent un entraînement à la consommation de drogues qui a valeur de mécanisme de défense contre leur souffrance, contre leur angoisse. Si celle-ci est amortie, ils n’échappent pas, à plus ou moins brève échéance, à une déchéance psychique, à une déchéance physique, à de nouvelles souffrances. Ils présentent des décompensations psychotiques qui peuvent durer bien au-delà de la suppression de toute drogue. Il semble bien que, dans ces cas, le toxique, même s’il n’a pas été consommé pendant longtemps ou à de fortes doses, joue le rôle de révélateur d’une état prépsychotique, d’une psychopathie schizoïde, par exemple.

Terme utilisé par FREUD tout au long de son œuvre pour désigner la façon dont les événements s’inscrivent dans la mémoire. Les traces mnésiques sont déposées, selon Freud, dans différents systèmes ; elles subsistent de façon permanente mais ne sont réactivées qu’une fois investies.

Nom donné à divers produits chimiques, qui ne sont pas des hypnotiques, mais qui permettent d’apaiser les Sujets en leur procurant une agréable impression de détente, sans les faire dormie.

Les tranquillisants agissent en calmant les nerfs des Sujets surmenés et anxieux ; ils inhibent certains relais nerveux complexes, contrôlant l’humeur.

On utilise ces drogues pour soigner les perturbations psychosomatiques et les troubles du caractère (névroses). En revanche, leur action n’a pas d’effet dans les psychoses.

aAttention à l’accoutumance

Ces produits sont extrêmement utilisés à l’heure actuelle pour réduire l’anxiété provoquée souvent par la vie moderne. Ils sont même parfois employés avec trop de facilité et les Sujets s’habituent aisément à leur absorption. Dans certains pays, comme les Etats‑Unis, leur emploi est presque devenu une accoutumance.

Chapitre 12 TRANSCENDANCE

Schèmes et archétypes de la transcendance exigent un procédé dialectique : l’arrière‑pensée qui les guide est arrière‑pensée polémique qui les affronte à leurs contraintes. L’ascension est imaginée contre la chute et la lumière contre les ténèbres.

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