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7 août 2003

PSYCHANALYSE CHERE - CHOIX

Chapitre 1 CHERE. 2

a Expressions. 2

i Dite « faire bonne chère ». 2

Chapitre 2 CHEVAL. 3

a Etymologie au mot « cauchemar ». 3

b Source et typologie. 3

i Celui aquatique. 3

a POSEÏDON.. 4

ii Celui de l’Apocalypse. 4

iii Celui CHTONIEN.. 4

iv Celui des GRECS. 4

a HECATE. 4

v Celui solaire. 4

a LEUCIPPE. 4

b FREYR.. 4

vi Celui du tonnerre. 4

a Dans la mythologie GRECQUE. 4

c Psychanalyse. 5

i Complexe de MAZEPPA.. 5

Chapitre 3 CHEVRE. 5

a Expressions. 5

i Dite « ménager la chèvre et le chou ». 5

Chapitre 4 CHIEN.. 5

a Expressions. 5

i Dite « entre chien et loup ». 5

Chapitre 5 CHOC : 6

a Psychologique. 6

Chapitre 6 CHOIX.. 6

a Celui de la névrose. 6

b Celui d’objet 6

i Définition. 6

ii Celui par étayage. 6

iii Celui d’Objet narcissique. 6

a définition. 6

aExpressions

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, cette locution gourmande et enjouée n’a aucun rapport avec la « chair » ; ce n’est pas de bonne viande qu’il s’agit. La « chère », anciennement « chière », mot oublié, vient du latin cara et signifie tout bonnement le visage. Au 12ème siècle, on appelle le comte ROLAND : « li cons ROLLANT o la chière hardie », ce qui est normal pour un guerrier aussi réputé. Dans le Roman de la Rose, TRISTESSE, dans sa grande douleur, s’est griffé le visage :

« Mout sembloit bien estre dolente

Car el n’avoit pas esté lente

D’esgratiner tote sa ciere. »

« Faire bonne chère’, c’est donc d’abord faire bon visage, généralement en signe d’amitié. Dans Les XV Joies de mariage, cet écrit extrêmement misogyne du début du 15ème siècle, il est dit que « femme bien aprise sait mil manières toutes nouvelles de bonne chière à qui elle veut ». Il est vrai qu’elle sait aussi faire l’inverse à son mari : « Mais elle se lèvera bien matin et fera tout le jour malle chière, si qu’il ne aura d’elle nulle belle parole » - autrement dit on n’invente rien, c’est la vieille façon de « faire la gueule » ! Naturellement, si l’on reçoit avec joie cela se voit sur la figure – cela se voyait d’autant mieux à des époques où la mimique et la gesticulation étaient beaucoup plus importantes que de nos jours, où une véritable « expression corporelle » entrait en jeu dans la communication entre les gens. Rapidement « bonne chière » est devenu synonyme de « bon accueil ». Eternel féminin ! L’auteur des XV Joies s’indigne de la rouerie mise en œuvre au retour d’un mari que l’on vient de tromper : « Il n’est pas à croire que la femme qui tant lui fait bonne chière et le baise et accolle si doucement et l’appelle ‘’mon amy’’ pust jamés faire telle chose. » Mais rien de tel qu’un estomac plein pour dérider son homme ! Il semble que la mine réjouie ait été associée très tôt à l’idée de bon repas. On dit dans le Jeu de ROBIN et MARION, vers 1285 :

« Or faisons trestout bele kiere.

Tien che morcel, biaus amis dous. »

(Faisons maintenant belle chère.

Prends ce morceau, bel ami doux)

On trouve également vers la même date l’expression « chère lie », qui veut dire la même chose et a évolué de la même façon : « lie », féminin de lié, signifie « joyeux » - il a donné liesse et la locution moins courante « faire chère lie », ce qui suit est extrait de : Le Roman du comte d’ANJOU.

« Chascun trueve quanqu’il demande,

Pain, vin, char et toute viande,

Car la vile estoie bien garnie ;

Si en prennent a chiere lie.

Assez ont mengié et beü

Des biens tant con* leur a pleü. »                               * : comme

En tout cas, dès les premières années du 15ème siècle la « bonne chière » avait aussi pris le sens de bon repas. Il est vrai que c’était en pleine guerre de Cent Ans, de ses ravages, de ses disettes, et qu’à des périodes où les gens souffrent de faim chronique il n’est rien de tel pour voir leur visage s’éclairer, leur œil pétiller et leur sourire se fendre jusqu’aux oreilles, que de leur présenter un petit gueuleton ! Dans l’ouvrage antimatrimonial cité plus haut les deux sens coexistent harmonieusement lorsque l’on reçoit le « gentil galant » à qui on veut perfidement faire épouser une donzelle : « Il a très bonne chière [accueil], car toutes ont tendu leurs engins [pièges] à le prendre. Ils vont dîner et font bonne chière [repas]. » Un demi‑siècle plus tard, VILLON retient surtout le sens gastronomique :

« Car il ne voulait que repaître

Et alla tout incontinent

Faire grant chère avec le prêtre. »

Pourtant les deux acceptions ont vécu côte à côte joyeusement jusqu’au 17ème siècle où Mme de SEVIGNE emploie une fois : « Il me sait si bon gré de vous avoir mise au monde, qu’il ne sait quelle chère [visage] me faire » ; une autre fois : « Elle me disait hier à table qu’en BASSE‑BRETAGNE on faisait une chère admirable. » Quant à SCARRON, hébergé par des amis près de BOURBON‑L4ARCHAMBAULT, il ne pensait qu’à la bouffe :

« Un mois durant, je fus traicté

Comme si leurs fils j’eusse esté ;

Certes, si par la bonne chere

On peut soulager sa misere,

Je mangeois là comme un vray loup

Et m’y remplissois jusqu’au cou. »

aEtymologie au mot « cauchemar »

La mahrt, démon hippomorphe ALLEMANDE dont l’étymologie est comparée par KRAPPE au vieux SLAVE mora, la sorcière, au vieux RUSSE mora, le spectre, au POLONAIS mora et au TCHEQUE mura qui ne sont rien d’autre que notre cauchemar.

Enfin, on peut rapprocher de la même étymologie le mors, mortis LATIN, le vieil IRLANDAIS marah qui signifie mort, épidémie, le LITHUANIEN maras qui veut dire peste, KRAPPE va même jusqu’à expliquer par euphémisation le rapprochement étymologique avec les séduisantes « filles de MARA », personnifications INDIENNES du désastre et du mal. Mais c’est surtout JUNG qui insiste sur le caractère hippomorphe du cauche‑mar et des succubes nocturnes. Il motive l’étymologie de cauchemar par calcare latin – qui en français donne l’expression « cocher la poule », c’est‑à‑dire à la fois copuler et fouler aux pieds – et par le vieux HAUT‑ALLEMAND mabra qui signifie étalon et vient se confondre avec l’image de la mort dans le radical aryen mar, mourir. Le psychanalyste KRAPPE note au passage que le mot FRANÇAIS mère est très proche de la racine en question, suggérant par là que la mère est le premier ustensile que chevauche l’enfant, et également que la mère et l’attachement à la mère peuvent revêtir un aspect terrifiant. Une fois de plus nous ajouterons que le sens psychanalytique et sexuel de la chevauchée apparaît bien dans la constellation hippomorphe, mais qu’il vient simplement surdéterminer le sens plus général qui est celui de véhicule violent, de coursier dont les foulées dépassent les possibilités humaines et que COCTEAU, avec un très sûr instinct, saura moderniser, dans son fils Orphée, en le transformant en motocyclettes messagères du Destin. KRAPPE ajoute d’ailleurs à l’étymologie en question une remarque qui abstrait le symbole de toute suggestion cavalière : en SUISSE‑ALLEMAND möre est une injure qui veut dire truie, et mura en BOHEMIEN est l’espèce nocturne de papillon que nous nommons significativement en FRANÇAIS : « SPHYNX, tête de mort ». Il s’agit donc bien dans tous les cas du schème très général d’animation doublé de l’angoisse devant le changement, le départ sans retour et la mort.

bSource et typologie

Le cheval est à la fois course solaire et course fluviale. DONTENVILLE explique l’ambivalence du symbole du cheval avec un phénomène historique et culturelle : l’envahisseur GERMAIN, cavalier et nomade, introduisant le culte du cheval tandis que le CELTE vaincu aurait considéré le cheval du vainqueur comme un démon maléfique et porteur de mort, les deux valorisations subsistant par la suite côte à côte.

Le thème de la chevauchée fantastique et aquatique est courant dans les folklores FRANÇAIS, ALLEMAND ou ANGLO‑SAXON. On retrouve de semblables légendes chez les SLAVES, les LIVONIENS comme chez les PERSANS. Dans le folklore de ces derniers, c’est le roi SASSANIDE YEZDEGUERD 1er qui est tué par un cheval mystérieux sorti d’un lac, comme est tué en OCCIDENT THEODORIC l’OSTROGOTH. En ISLANDE, c’est le démon hippomorphe NENNIR, frère du KELPI ECOSSAIS et du démon des sources de la SENNE, qui hante les rivières.

Il semble se réduire au cheval infernal. Non seulement parce que le même schème de mouvement est suggéré par l’eau courante, les vagues bondissantes et le rapide coursier, non seulement parce que s’impose l’image folklorique de la grande jument blanche, mais encore le cheval est associé à l’eau à cause du caractère terrifiant et infernal de l’abîme aquatique.

POSEIDON donne le ton à toute la symbolique GRECQUE du cheval. Non seulement il prend la forme du cheval. POSEIDON est fils de KRONOS, il porte le trident primitivement fait des dents du monstre. C’est le dieu des tremblements de terre, ce qui lui donne un aspect infernal. Le corrélatif CELTE du POSEÏDON GREC est NECHTAN, démon qui hante les fontaines, parent étymologique du NEPTUNE LATIN.

La mort chevauche le cheval blafard.

Il est la monture de HADES et de POSEIDON. Ce dernier, sous forme d’étalon, s’approche de GAIA la Terre Mère, DEMETER ERINNYS, et engendre les ERRINYES, deux poulains démons de la mort.

Dans une autre leçon de la légende, c’est le membre viril d’OURANOS, coupé par KRONOS le Temps qui procrée les deux démons hippomorphes. Et nous voyons se profiler derrière l’étalon infernal une signification sexuelle terrifiante à la fois.

HECATE, déesse de la lune noire et des ténèbres, fortement hippomorphe, succube et cauchemar dont HESIODE fait la patronne des cavaliers, la maîtresse de la folie, du somnambulisme, des rêves et spécialement de l’EMPUSE, fantôme de l’angoisse nocturne. Plus tard, HECATE sera confondue dans le panthéon GREC avec ARTEMIS, la « déesse aux chiens ».

Il faut garder en mémoire que ce n’est pas au soleil en tant que luminaire céleste qu’est lié le symbolisme hippomorphe, mais au soleil considéré comme redoutable mouvement temporel. C’est cette motivation par l’itinéraire qui explique l’indifférente liaison du cheval avec le soleil ou la lune : les déesses lunaires des GRECS, des SCANDINAVES, des PERSES voyagent sur des véhicules traînés par des chevaux. Le cheval est donc symbole du temps puisque lié aux grandes horloges naturelles.

Malgré les apparences, il comporte plusieurs similitudes au cheval CHTONIEN. Les multiples chevaux solaires de la tradition EUROPEENNE conservent plus ou moins euphémisé le caractère redoutable du SURYA VEDIQUE. Primitivement, le cheval reste le symbole du la fuite du temps, lié au Soleil Noir tel que nous le retrouverons dans le symbolisme du lion. On peut donc, en général, assimiler le sémantisme du cheval solaire à celui du cheval CHTONIEN. Le coursier d’APOLLON n’est que ténèbres domptées.

Cependant, le cheval, comme beaucoup de la vie des symboles qui, sous les pressions culturelles, transmigre et se charge de significations différentes : par l’intermédiaire solaire, on voit le cheval évoluer d’un symbolisme CHTONIEN et funèbre, à un pur symbolisme OURANIEN, jusqu’à devenir le double de l’oiseau dans la lutte contre le serpent CHTONIEN. 

LEUCIPPE est un cheval blanc, ancien dieu solaire et les RHODIENS sacrifient des chevaux à HELIOS.

FREYR, le dieu solaire SCANDINAVE, se voit consacrer les chevaux, son substitut CHRETIEN SAINT ETIENNE est également protecteur des animaux. 

Nous retrouvons, à propos du cri animal, cet aspect bruyant de la thériomorphie. Le galop du cheval est isomorphe du rugissement léonin, du mugissement de la mer comme celui des bovidés.

PEGASE, fils de POSEÏDON, démon de l’eau, porte les foudres de JUPITER. Peut‑être faut‑il voir dans cet isomorphisme une confusion, au sein du schème de l’animation rapide, avec la fulgurance de l’éclair.

C’est ce que JUNG laisse entendre à propos des CENTAURES, divinités du vent rapide, et d’ajouter tel un FREUDIEN, « du vent enragé coureur de jupons ».

Par ailleurs, SALOMON REINACH a montré que le roi mythique TYNDARE est un ancien dieu chevalier et que son nom se confond avec le vocable onomatopéîque du tonnerre tundere. C’est donc sous l’aspect d’un cheval bruyant et ombrageux que le folklore, comme le mythe, imagine le tonnerre.

cPsychanalyse

Le cheval est mis en liaison avec des constellations aquatiques, soit avec le tonnerre, soit avec les enfers avant d’être annexé par les mythes solaires. Mais ces quatre constellations, même la solaire, sont solidaires d’un même thème affectif : l’effroi devant la fuite du temps symbolisée par le changement et par le bruit.

aExpressions

A vouloir plaire aux uns, on s’attire souvent la colère des autres, et il est parfois difficile de « ménager la chèvre et le chou ». Dans cette curieuse locution, il faut comprendre le verbe « ménager », non pas dans le sens actuel d’ « épargner », mais dans celui qu’il avait autrefois de « conduire, diriger » - que l’ANGLAIS a conservé sous la forme quasi internationale de « manager » et « management ». Une bonne ménagère est étymologiquement celle qui dirige bien les affaires de sa maison. C’est donc « conduire la chèvre et le chou » qu’il faut entendre à l’origine de l’expression, ces deux antagonistes ancestraux, prototypes du dévoreur et du dévoré, du faible et du fort, du couple dominant‑dominé qui a toujours besoin d’un arbitre, d’un gardien, d’un législateur ; le duo a donné aussi mi‑chèvre, mi‑chou, moitié agressif, moitié soumis, donc incertain, hésitant à pencher vers un bord ou un autre. En tout cas, il faut être habile pour faire cohabiter ces deux ennemis, ou les emmener en voyage. Une histoire fort ancienne illustre la difficulté de leur conduite : c’est le fameux problème du passage d’un loup, d’une chèvre et d’un chou. Un homme doit faire traverser une rivière à ces trois personnages, mais le pont est tellement étroit, ou la barque si frêle, qu’il ne peut en passer qu’un seul à la fois. Bien sûr, il ne saurait à aucun moment laisser ensemble sans surveillance ni le loup avec la chèvre, ni la chèvre avec le cou ! Il doit donc faire appel à une astuce particulière, sujet de la devinette, et vous pouvez mette la sagacité de vos amis à l’épreuve de ce classique qui fait la joie de nos aïeux. Solution : on passe d’abord la chèvre, le loup et le chou restant seuls ne se feront aucun mal. On la laisse de k’autre côté et on revient à vide chercher le chou. Une fois celui‑ci sur l’autre rive – c’est là l’astuce – on ramène la chèvre avec soi. On la laisse seule à nouveau, pendant que l’on fait traverser le loup que l’on ré‑abandonne avec le chou, mais sur l’autre bord. On a alors tout le loisir, dans un aller retour supplémentaire, d’aller rechercher la chèvre, afin que les trois protagonistes se retrouvent sans dommage sur la rive opposée, en compagnie de leur habile gardien. Cette histoire était déjà célèbre au 13ème siècle, où savoir « passer la chèvre et le chou » était déjà une expression figurée d’habileté dans la discussion, comme en témoigne ce passage du Duillaume de DOLE en 1228 :

« Si lui fait lors un parlement*                         * : discours

De paroles où il lui ment :

Pour passer les chèvres, les

Chous,

Sachez que il n’estoit mie fou. »

aExpressions

La distinction entre les deux bêtes est essentielle pour le voyageur, encore faut‑il y voir assez clair. « Entre chien et loup », dit LITTRE, est « à petit jour, le soir ou le matin, c’est‑à‑dire quand le jour est si sombre qu’on ne saurait distinguer un chien d’avec un loup ». Peut‑être aussi le chien est‑il le temps du jour, de la lumière, de l’activité ; le loup, le temps de la nuit, de l’ombre, de la peur, où l’on se réfugie chez soi, dans le sommeil et aussi dans les cauchemars. Le jour guide et protège, la nuit égare et menace. Entre les deux, c’est l’hésitation, le crépuscule, le passage lui aussi inquiétant, d’un état à l’autre. l’expression remonte à la nuit des temps, on lit au 13ème siècle :

« En un carrefour fist un feu

Lez un cerne* entre chien et leu. »                              * : près d’un chêne

Ce fut toujours l’heure propice aux mauvaises rencontres, et aussi, heureusement, aux rendez‑vous galants.

aPsychologique

Réactions psychopathologique survenant à la suite d’un événement inattendu provoquant chez le sujet, incapable de s’y adapter un traumatisme psychologique. Les événements stressants peuvent avoir des origines diverses : les expériences traumatisantes comportant un risque important pour la sécurité ou la santé psychique du sujet ou de ses proches. Un épuisement physique et des facteurs organiques peuvent favoriser le développement de ce trouble. La nature et la durée du choc proprement dit sont variables : de l’anxiété à la stupeur. Un tel choc a le plus souvent un retentissement sur l’organisation du psychisme, de la névrose traumatique à la décompensation psychotique.

aCelui de la névrose

Fonction psychique barrant l’accès à la conscience des idées, pulsions et désirs provenant de l’inconscient, soit qu’ils menacent l’équilibre du sujet, soit qu’ils entrent en contradiction avec les interdits sociaux. Mais les désirs inconscients parviennent pourtant à passer le barrage de la censure lorsque celle-ci relâche un peu sa vigilance, notamment pendant le sommeil. Ils doivent pour ce faire se rendre méconnaissables par différents procédés de déformation, comme la condensation et le déplacement, à l’œuvre dans le travail du rêve.

bCelui d’objet

Acte d’élire une personne ou un type de personne comme objet d’amour.

On distingue un choix d’objet infantile et un choix d’objet pubertaire, le premier traçant la voie au second. FREUD voit jouer dans le choix d’objet deux modalités majeures ; le type de choix d’objet par étayage et le type de choix d’objet narcissique.

iiCelui par étayage

Type de choix d’objet où l’objet d’amour est élu sur le modèle des figures parentales en tant qu’elles assurent à l’enfant nourriture/soins et protection. Il trouve son fondement dans le fait que les pulsions sexuelles s’étayent originellement sur les pulsions d’autoconservation.

Type de choix d’objet qui s’opère sur le modèle de la relation du sujet à sa propre personne, et où l’objet représente la personne propre sous tel ou tel aspect.

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