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7 août 2003

PSYCHANALYSE INDIEN

Chapitre 1 INDIEN : 1

a Leur essence. 1

b Leurs rites. 1

c Différentes tribus. 1

i CUNA.. 1

ii OMAHA.. 1

aLeur essence

bLeurs rites

cDifférentes tribus

F. MC KIM, dans San Blas : An acount of the CUNA INDIANS of PANAMA, nous indique que la cérémonie la plus significative, plus importante même que les rites de la naissance, du mariage ou de la mort, est la reconnaissance formelle de l’accession à l’âge de la femme, reconnue aux filles qui ont leurs premières règles. Mais, c’est là l’exception. En dépit de la fertilité qu’on leur envie, les filles sont socialement désavantagées et, comme les hommes, elles éprouvent une certaine ambivalence à l’égard de leur propre sexe et de celui de l’autre.

M. VAN WATERS écrivit The Adolescent Girl Among Primitive Peoples, où il y informe que le rite de puberté Nozhizo a pour élément le plus important le rêve que l’adolescent fait de la lune, où une sangle ou un faisceau de flèches lui sont présentés. Si, dans son rêve, il voit la sangle (burden strap), l’emblème de la vie de la femme, il devra alors ne plus tenir compte du fait qu’il est un garçon, mais vivre comme une femme, aprler comme elle et en porter les vêtements. La fille qui, elle, rêve qu’on lui offre des flèches doit, à partir de ce moment‑là, se comporter comme un homme. ce serait là, semble‑t‑il, une solution idéale si les modes de vie des hommes et des femmes étaient les mêmes quant au statut et au respect social accordés et si la décision était moins absolue, c’est‑à‑dire si elle ne devait pas être prise une fois pour toutes, mais pouvait être momentanée, tentée sous la forme d’essai et d’un engagement plus ou moins important dans les traits spécifiques de l’autre sexe.

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