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7 août 2003

PSYCHANALYSE INDIVIDU - INSTANCE

Chapitre 1 INDIVIDU.. 2

a Thématique. 2

i Sa conscience. 2

a Autonomisation Individuelle. 2

b Conflit intrapsychique. 2

c Prise de décision. 2

d Soumission. 3

ii Echecs répétés. 3

a Solution. 3

b Typologie. 3

i Dit médiéval 3

ii Dit moderne. 3

a Incertitude. 4

Un La société de masse. 4

iii Dit primitif 4

a Son Moi 4

Chapitre 2 INHIBITION.. 4

a Différentes fonctions. 5

i Celle sexuelle. 5

ii Celle alimentaire. 5

iii Celle de la locomotion. 5

iv Celle professionnelle. 6

b Inhibé(e) quant au but : 6

Chapitre 3 INNERVATION : 6

Chapitre 4 IMPOT. 6

a Création. 6

Chapitre 5 INSTABILITE : 7

a En psychologie de la personnalité (EYSENCK) 7

Chapitre 6 INSTANCE : 7

A chaque époque, l’homme se tourne vers des forces lesquelles résoudront les difficultés, croit‑il, qu’il ne réussit pas à maîtriser. Si la source de la névrose ou de la psychose réside dans les conflits intérieure de l’Individu, ses symptômes extérieurs reflètent la nature de la société dans laquelle il vit. les troubles psychotiques sont particulièrement révélateurs, peut‑être en raison de l’angoisse extrême qui est à leur origine et de l’effondrement fonctionnel qu’ils manifestent et tentent de surmonter. Souvent leur caractère excessif fait apparaître clairement des maux dont, dans une certaine mesure, nous sommes tous atteints dans le présent, en nous mettant en garde contre l’avenir.

aThématique 

Le but à chaque Individu est d’avoir sa propre conscience. Beaucoup se sentent poussés à une révolte dénuée de sens (parce que vaine ou contraire à leurs intérêts), à moins qu’ils ne renoncent à prendre des décisions parce que, selon leur expérience, elles ne servent à rien et ne sont que gaspillage d’énergie. Prendre position, que ce soit intérieurement, sans conséquence tangible, ou mieux, en extériorisant ses convictions, par l’action absorbe de l’énergie. C’est pourquoi, lorsqu’il n’en résulte aucun avantage pour l’Individu, il lui semblera au premier abord qu’il vaut mieux faire l’économie de cet effort. Du moins tant qu’il ne se rend pas compte du besoin de maintenir une « conscience de liberté ».

Dans l’enfance comme à l’âge adulte, si l’Individu estime qu’il lui est impossible d’influencer son milieu social et physique, puis de prendre des décisions sur la façon et le moment de le modifier, cette impression d’impuissance aura sur sa personnalité un effet nuisible, voire désastreux. Néanmoins, ce qui se révèle bon à la longue n’est pas toujours facile ou agréable au départ. Prendre des décisions implique un risque et un effort. C’est pourquoi l’homme cherche souvent à l’éviter, même lorsqu’il pourrait en principe exercer cette liberté. Par ailleurs, si restrictif ou oppressant que soit le milieu, l’Individu conserve la liberté de le juger. Sur le fondement de ce jugement, il est libre d’approuver ou de désapprouver intérieurement ce qu’on lui impose. Il est vrai que dans un milieu oppressant, ces décisions intérieures n’ont guère d’effets pratiques. C’est pourquoi, plus l’homme recherche l’efficacité pratique, plus il sera tenté de considérer que des prises de position sans résultat tangible sont un gaspillage d’énergie. Il les évitera donc.

A toutes les époques et dans toutes les civilisations, certaines personnes se sont senties possédées ou persécutées par des forces extérieures qui les dépassaient. Nous savons que ce besoin d’attribuer un conflit intérieur à une force extérieure naît lorsque l’Individu a l’impression qu’il ne parviendra pas à résoudre la difficulté dans le cadre de sa propre psyché. Mais on se rend moins compte que la nature de la possession dont il se croit victime nous apprend beaucoup sur ce qui, dans sa société, le perturbe.

La prise de décision est une fonction qui, comme les nerfs et les muscles, s’atrophie si elle ne s’exerce pas. En termes psychanalytiques, la prise de décision n’est pas seulement une fonction du Moi. c’est elle au contraire qui crée le Moi, le nourrit et le fait croître. S’il en est ainsi, toute interférence d’une autorité extérieure, même exercée en vue du bien de l’Individu, devient mauvaise lorsqu’elle est excessive et fait obstacle au développement du Moi. C’est‑à‑dire, lorsqu’elle empêche d’abord la prise de décision, puis l’action dans les domaines essentiels à l’acquisition et à la sauvegarde de l’autonomie. Théoriquement, cela va de soi. En pratique, il est impossible de fixer la limite jusqu’à laquelle on peut prendre des décision pour l’autre sans interférer avec son autonomie et au‑delà de laquelle aucun empiètement sur la liberté personnelle ne peut être toléré.

Il se trouve un cas de figure où l’enfant reconnaîtra volontiers que les décisions prises par d’autres pour lui sont satisfaisantes. Aussi, d’autant moins, il sera porté à faire l’effort d’en prendre par lui‑même.

Si un Individu a connu des échecs répétés et n’a pu résoudre ses problèmes (ceux qui lui sont propres et ceux qui l’opposent à la société), il perdra confiance en son aptitude à affronter avec succès les difficultés futures. L’obligation répétée de devoir choisir entre plusieurs emplois dont aucun ne lui convient vraiment, entre plusieurs partis politiques dont aucun ne le satisfait totalement, entre une multiplicité d’Objets qui le tentent mais dont aucun ne lui est vraiment nécessaire, place constamment l’homme devant son indécision. Il est rare que ses choix satisfassent des besoins profonds. C’est pourquoi l’énergie psychique dépensée à prendre la décision est gaspillée et l’Individu a l’impression de l’avoir épuisée sans but.

Fondamentalement, pour prendre une décision ou résoudre un conflit, l’homme doit être capable d’éliminer les solutions qui ne sont pas en accord avec ses valeurs et sa personnalité. Après cela, le choix est plus limité et la décision correcte devient relativement simple. Un Individu mal intégré, qui ne possède pas un ensemble de valeurs cohérent, n’est pas capable d’apprécier les possibilités de choix multiples qui s’offrent à lui en fonction de ses besoins personnels, et ne peut donc pas réduire le problème à des données simples. Un tel Individu se sent débordé chaque fois qu’une décision s’impose. Curieusement, si un Individu se trouve devant des possibilités multiples également attrayantes, le choix de l’une d’elles est en principe une expression de liberté. Mais psychologiquement, la situation n’est pas vécue de cette façon. L’Individu éprouve une vague insatisfaction. Alors que s’il sait clairement ce qu’il ne veut pas, en choisissant ce qui lui convient le mieux, il a l’impression d’avoir accompli un acte positif. Même si la latitude de choix était en réalité plus limitée, c’est une affirmation de soi qui procure une sensation de bien‑être.

bTypologie

Au Moyen Age, lorsqu’un homme ne parvenait pas à résoudre le problème auquel il était affronté et se réfugiait dans un univers délirant, il avait l’illusion d’être possédé par le démon. Mais une fois possédé, il se réconfortait à l’idée qu’il pouvait être sauvé par l’intercession des anges ou des saints. On ne se sent guère victime de la séduction sexuelle du diable que lorsque les mœurs exigent une chasteté absolue et que l’Individu fait de cette exigence son propre idéal. La croyance délirante que seul le diable peut séduire une femme exprime une norme antérieure de chasteté si rigoureuse que seul un pouvoir surhumain (celui de mauvais démons) peut en venir à bout. Mais le même délire nous révèle vers quelles forces la société se tourne (les bons démons) pour résoudre les contradictions internes qu’elle se sent incapable de maîtriser.

L’homme moderne ne cherche plus le nirvana. Il ne tente pas d’échapper aux problèmes insolubles de la vie en rêvant de paradis, mais en s’évadant par la conquête de l’espace. Dans la mesure où il croit assurer sa sécurité par des missiles téléguidés et la fission nucléaire, il sera inévitablement hanté par la peur des bombes atomiques. Ce qu’il y a de nouveau dans les espoirs et les peurs de l’ère de la machine, c’est que le sauveur et le destructeur n’ont plus figure humaine. Nos fantasmes ne sont plus la projection directe de notre propre image. Ce en quoi nous mettons notre espoir, ou ce que nous redoutons dans nos délires d’angoisse, n’est plus de nature humaine.

Quand la société évolue rapidement, l’Individu ne dispose pas d’un temps suffisant pour acquérir les nouvelles attitudes qui lui permettraient de s’adapter aux changements de son environnement, en fonction de sa personnalité propre. Cela le désoriente et le rend incertain. Plus son désarroi s’accroît, plus il est porté à observer les réactions des autres et à tenter d’imiter leur comportement. Mais ce comportement imité n’étant pas en accord avec sa propre personnalité, il en résulte un affaiblissement de son intégration et il devient de moins en moins capable de réagir d’une façon autonome à de nouveaux changements. Ce que BETTELHEIM redoute, c’est une société de masse où les Individus ne réagiront plus spontanément aux vicissitudes de l’existence, mais accepteront sans aucun esprit critique les solutions qui leur sont proposées par d’autres.

La société de masse contemporaine accroît d’autres façons l’incertitude de l’homme devant sa propre identité, et le sentiment d’une restriction de son autonomie. En raison de la multiplicité des choix et des modes de vie possibles, celui qu’on adopte Individuellement perd apparemment de son importance et la capacité de s’y tenir n’est plus une nécessité. L’Individu a plus de mal à acquérir des normes personnelles, donc à régler sur elles son comportement. En même temps, la société moderne lui donne l’illusion d’une liberté plus grande qui rend la frustration plus préjudiciable. Elle offre à l’Individu beaucoup plus de choix qu’il ne peut raisonnablement en assumer. Elle ne lui fournit pas, dans son éducation d’enfant, puis d’adulte, d’exemples ni de lignes directrices lui permettant de satisfaire ses désirs instinctuels d’une façon qui soit conforme à son intérêt et à celui de l’autre. Lorsqu’il arrive à l’âge où il lui fait satisfaire ses désirs ou les réprimer, sa personnalité risque de s’être constituée sans qu’il ait appris à maîtriser ce problème. C’est ce qui arrive à l’Individu qui s’en remet à la société pour réglementer la plupart de ses autres activités. Il en résulte qu’il se tourne une nouvelle fois vers la société, afin qu’elle lui indique comment, par exemple, il doit satisfaire son instinct sexuel. Il n’a même plus la possibilité d’exprimer son originalité Individuelle dans sa vie la plut intime.

BETTELHEIM tente d’expliquer le stade des sociétés primitives. Il  voit, par exemple, cette indication. Le Moi de l’homme primitif est peu développé, car le Surmoi paraît tantôt extrêmement cruel, tantôt à peine capable de s’affirmer lui‑même. Dans quelle mesure ces comparaisons sont légitimes, nous l’ignorons ; mais si l’hypothèse d’une immaturité comparative, d’une intégration relativement pauvre de la personnalité est correcte, cela signifie que les barrières contre l’expression de certaines tendances sont faibles. Ainsi dans des cultures archaïques un Individu pourra extérioriser librement ce qui, chez l’homme occidental, serait considéré comme les signes d’une désintégration de la personnalité. il pourra ritualiser des désirs qui, chez des Individus « normaux » appartenant à notre culture, doivent être profondément refoulés ou alors intégrés et sublimés, en ne se voyant autoriser qu’une expression fantasmatique.

L’inhibition est l’expression d’une limitation fonctionnelle du Moi qui peut elle‑même avoir des origines très différentes. Plusieurs des mécanismes qui interviennent dans cette renonciation à une fonction nous sont familiers, ainsi qu’une tendance générale de cette renonciation. D’une manière très générale, la fonction qu’un organe remplit au service du Moi est atteinte, lorsque son érogénéité, sa signification sexuelle, s’accroît. Et, le Sujet abandonne l’activité sitôt qu’elle reviendrait à exécuter l’acte sexuel interdit. Le Moi renonce à des fonctions qui sont à sa disposition, afin de n’être pas contraint à entreprendre un nouveau refoulement, afin d’éviter un conflit avec le Ça. On peut dire que les inhibitions sont des limitations des fonctions du Moi, soit par mesure de précaution, soit à la suite d’un appauvrissement en énergie.

aDifférentes fonctions

L’inhibition, du point de vue conceptuel, est si intimement liée à la fonction qu’il peut venir à l’idée d’examiner les différentes fonctions du Moi, dans le but d’observer les formes que revêt leur perturbation dans chaque affection névrotique particulière.

Elle est sujette à des perturbations très variées dont la plupart présentent le caractère d’inhibitions simples. Celles‑ci sont groupées sous le terme d’impuissance psychique. L’accomplissement de la fonction sexuelle normale présuppose un déroulement compliqué, où la perturbation peut intervenir à chaque étape. Chez l’homme, l’inhibition s’établit principalement aux points suivants : la libido se détourne au début du processus (déplaisir psychique), les conditions physiques préalables ne se réalisent pas (absence d’érection), l’acte est abrégé (éjaculation précoce) ou suspendu avant son terme naturel (absence d’éjaculation), l’effet psychique ne se produit pas (la sensation voluptueuse de l’orgasme n’est pas éprouvée). D’autres perturbations proviennent de ce que la fonction se trouve liée à certaines conditions particulières, de nature perverse ou fétichiste.

Il ne peut nous échapper longtemps que l’inhibition est en relation avec l’angoisse. Bien des inhibitions sont manifestement des renonciations à une fonction motivées par le fait que son exercice provoquerait un développement d’angoisse. Chez la femme une angoisse directement liée à la fonction sexuelle est fréquente. Nous la rangeons dans l’hystérie, de même que le symptôme de défense qu’est le dégoût, qui, à l’origine, s’installe comme une réaction après coup à l’acte sexuel vécu d’une manière passive et plus tard survient à l’occasion de la représentation de cet acte. Un grand nombre d’actions compulsives aussi se révèlent des précautions et des garanties prises contre une expérience sexuelle et sont donc de nature phobique.

Il se peut que la libido se détourne simplement soit, inhibition pure), que l’exécution de la fonction soit détériorée, que cette exécution soit rendue plus difficile par des conditions particulières et modifiée par da déviation chez d’autres buts, qu’elle se trouve empêchée par des mesures de précaution, qu’elle soit interrompue par le développement d’angoisse pour autant qu’on n’a pu l’empêcher de commencer, enfin, si la fonction a, malgré tout, été accomplie, qu’une réaction se produise après coup qui proteste contre cet accomplissement et veuille défaire ce qui est advenu.

La perturbation la plus fréquente de la fonction alimentaire est l’inappétence par retrait de la libido. Les cas d’intensification de l’appétit ne sont pas rares non plus. Une compulsion à manger est motivée par l’angoisse d’inanition. Le symptôme du vomissement nous est connu comme défense hystérique contre l’alimentation. Le refus de nourriture découlant de l’angoisse appartient aux états psychotiques (délire d’empoisonnement).

La locomotion est inhibée dans de nombreux états névrotiques par l’aversion pour la marche et par une faiblesse motrice ; dans l’hystérie, l’inhibition utilise la paralysie motrice de l’appareil du mouvement ou provoque une suppression plus spécialisée de la seule fonction de locomotion de cet appareil (abasie). Tout particulièrement caractéristiques sont les difficultés apportées à la locomotion par l’intervention de conditions déterminées, l’angoisse survenant su elles ne sont pas remplies.

L’inhibition au travail, perturbation qui, comme symptôme isolé, est si souvent l’Objet du traitement, nous montre une diminution du plaisir à travailler, une exécution défectueuse du travail, ou des phénomènes réactionnels tels que la fatigue (vertige, vomissement) lorsque le Sujet s’est forcé à poursuivre le travail. L’hystérie oblige à cesser le travail en créant des paralysies d’organes ou de fonctions, dont l’existence est incompatible avec l’exécution du travail. Dans la névrose obsessionnelle, le travail est perturbé par une distraction continuelle et le temps perdu aux persévérations et aux répétitions qui s’y introduisent.

On remarque dans cette catégorie l’autopunition. Le Moi n’a pas le droit de faire telles choses, parce qu’elles lui apporteraient profit et succès, ce que la sévérité du Surmoi lui a refusé. Dans ce cas, le Moi renonce à ces activités pour ne pas entrer en conflit avec le Surmoi.

bInhibé(e) quant au but :

Qualifie une pulsion qui, sous l’effet d’obstacles externes ou internes, n’atteint pas son mode direct de satisfaction (ou but) et trouve une satisfaction atténuée dans des activités ou des relations qui peuvent être considérées comme des approximations plus ou moins lointaines du but premier.

Terme utilisé par FREUD dans ses premiers travaux pour désigner le fait qu’une certaine énergie est véhiculée vers telle ou telle partie du corps, y produisant des phénomènes moteurs ou sensitifs. L’innervation, phénomène physiologiques, pourrait se produire par conversion d’énergie psychique en énergie nerveuse.

L’affirmation historique « des impôts sans représentation sont de la tyrannie » exprime plus de sagesse qu’on ne le croit en général. Elle ne met en cause ni le montant des impôts ni leur mode de prélèvement, ni l’affectation des recettes fiscales. Elle ne se contente pas d’affirmer que les impôts interfèrent avec le droit de propriété et ne doivent pas être décidés sans le consentement du propriétaire. Après tout, la propriété et le revenu proviennent de la société et dépendent de sa structure. Donc, ils ne sont pas aussi privés que ceux qui invoquent cette citation voudraient le croire.

aCréation

Consentir à l’établissement d’un impôt est fondamentalement de peu d’importance. Mais à ne pas permettre à l’Individu de participer à des décision qui l’affectent, on crée le sentiment d’impuissance qui nous fait dire que nous sommes victimes de tyrannie. La nature des actes et des décisions qui donnent à l’homme le sentiment d’être tyrannisé s’il n’est plus libre varie avec l’époque, la société, et le tempérament des Individus. A un moment donné, elle concernait l’argent et la propriété. A d’autres moments, les impôts ont eu moins d’importance aux yeux des hommes que la liberté de pensée, la liberté d’expression, la liberté religieuse. ou, à prendre un exemple dans le monde actuel, d’être libéré du besoin et de la peur.

Impossibilité de fixer son comportement. Le Sujet instable s’agite mais ne peut mener à terme une action concertée et passe sans cesse d’une activité à une autre.

aEn psychologie de la personnalité (EYSENCK)

L’accent a été mis plus spécialement sur l’instabilité émotionnelle. HJ EYSENCK a décrit un grand axe de la personnalité humaine qui va du pôle stable au pôle instable. Pour EYSENCK, l’instable est l’individu le plus marqué par le neuroticisme. L’instabilité émotionnelle porte à l’agitation, à la nervosité, aux difficultés affectives et parfois à la délinquance.

Dans le cadre d’une conception à la fois topique et dynamique de l’appareil psychique, telle des différentes substructures. Exemples : instance de la censure (première topique)/instance du surmoi (seconde topique).

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